Hommage en poèmes à Maria Callas, la tragédienne pour sa voix,
son œuvre, sa vie. Rebecca Gruel par son œuvre personnelle dépose
ici son propre chemin en témoignage de la grande artiste.
Une manière bien à elle de se frotter à la trace éternelle.
« L’oiseau s’abat sur la scène
Je m’enivre d’Opéra
De ces voix merles
Elles ne finissent ni s’apaisent
Essence saphir de ces êtres extase. »
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