Un comité de lecture conquit par “écrire, c’est aimer”

Cette nouvelle édition, corrigée et augmentée avec cet Après-lire, en est une preuve indubitable pour notre structure associative. éditer Catherine Coq nous a propulsés dans une nouvelle dimension, une nouvelle exigence. Les rôles renversés dès le début, pour la maquette, par exemple, il a fallu revoir nos « normes », grâce à elle, nous nous sommes améliorées à l’espace près et au choix d’un caractère de polices adapté au propos et à notre époque. Ce livre à réaliser s’est révélé un apprentissage du côté technique. Et je remercie infiniment, il faut le préciser, les professionnels de l’image et du graphisme qui nous ont aidés pour la confection de la couverture. Mais conjointement au propos de la nouvelle poétique, outre la forme novatrice, la présentation élégante et le charme qui se dégagent à la lecture, outre l’importance du propos, sa nouveauté, il y a un point crucial que je désire souligner ici : la grandeur d’âme de cette femme, sa générosité, véritablement. Depuis que ce livre est paru, comme paraît l’enfant, Voix Tissées l’édition est née. Nous avons osé nous exposer au grand jour pour ce travail de fourmi au service de la poésie, du verbe, la naissance à l’expression de soi. Dans un monde attaché à l’apparence, nous nous mettons au service de nouvelles voix, pour leur donner une forme de livre à partager sur leur chemin et aussi le nôtre. – Vous savez, un livre, juste ce petit objet, que vous réglez une seule fois, sans abonnement souvent, facile à ouvrir, à mettre dans la poche, comme un objet technologique bien connu, digital aussi puisque c’est grâce au doigt que nous tournons la page, sans sonnerie d’aucune sorte, sans branchement, aucun besoin de rechargement, tout prêt à l’emploi –